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Communiqué de presse : L'école inclusive, c'est l'affaire de tous

Depuis plusieurs mois, les principes mêmes d’une école pour tous, d’une école dite « inclusive » sont remis en cause. A certaines déclarations politiques et prises de position s’interrogeant sur la possibilité, pour tous les
élèves, de suivre un enseignement au sein des écoles de la République, s’ajoutent des difficultés de plus en plus exprimées par les enseignants dans différentes enquêtes (enquête IFOP de septembre commanditée par notre collectif, enquête pour l’Autonome de solidarité laïque (ASL) d’octobre...) pour les mettre en œuvre.

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Droit de réponse : la FNASEPH réagit à l'émission Zone Interdite du 24 mars 2024"

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Communiqué de presse - Transformation des PIAL en "Pôle d'Appui à la Scolarité (PAS") : la FNASEPH réagit à l'article 53 du PLF 2024

Projet de loi de finances N°1680 : Commentaire FNASEPH sur l’article 53 : “Création des Pôles d’Appui à la scolarité (PAS)”

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Active depuis 1996, la FNASEPH est une fédération d’associations nationales et de collectifs associatifs départementaux
pour faciliter le parcours scolaire, social et d’insertion professionnelle du jeune (enfant adolescent et jeune adulte)
en situation de handicap et développer l’accompagnement de qualité en tous lieux et temps de vie.

iStock 476122492Dans une décision du 28 septembre der­nier, le juge des référés du tribunal administratif de Melun a considéré que l'Etat avait porté une atteinte grave et manifestement illégale au droit pour tout enfant de bénéficier d'une scolarité adaptée à son état de santé, en refusant d'intégrer un enfant atteint d'autisme en classe ULIS (unités localisées d'inclu­sion scolaire) « collège ».

Dans les faits, un enfant avait été scolarisé en ULIS «école» au cours des quatre dernières années. En mai 2017, la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées (CDAPH) avait naturellement renouvelé cette orientation, dans le cadre du dispositif ULIS «collège». Cependant, le rectorat de l'académie de Créteil avait finalement décidé de l'affecter en classe de sixième ordinaire, faute de place disponible en ULIS «collège». La mère de l'enfant avait alors introduit un recours amiable contre cette décision. Son recours ayant été rejeté, elle a demandé au juge administratif de statuer en référé afin de « mettre fin à l'atteinte grave et manifestement illégale à une liberté fondamentale, résultant de l'impossibilité pour son fils de bénéficier d'une scolarisation adaptée».

Considérant que l'absence de scolarisation de l'en­fant créait une situation d'urgence et était susceptible de constituer une atteinte grave et manifestement illégale à une liberté fondamentale, le juge des référés a accueilli favorablement cette demande. Selon lui, l'état de santé et les compétences cognitives et scolaires de l'enfant étaient « totalement incompatibles avec la poursuite d'une scolarité en classe de sixième ordi­naire, même avec l'accompagnement d'une auxiliaire de vie scolaire». Il a donc estimé que la décision du rectorat, prise en méconnaissance de la décision de la CDAPH, portait une atteinte grave et manifeste­ment illégale au droit pour tout enfant de bénéficier d'une scolarité adaptée à son état de santé. Le juge administratif a ainsi refusé l'argument du rectorat, qui faisait valoir que, « malgré la création de nom­breuses classes ULIS au cours de ces dernières années, les demandes, en particulier pour l'enseignement secondaire ne [pouvaient} pas être toutes satisfaites». Le juge a en outre considéré qu'il n'avait pas mobilisé l'ensemble des moyens dont il disposait, y compris le maintien de l'enfant en classe ULIS« élémentaire», pour permettre la poursuite de sa scolarisation dans des conditions compatibles avec son état de santé. Il a donc enjoint au rectorat d'affecter l'enfant en classe ULIS dans un délai de dix jours à compter de la notification de l'ordonnance.

Diane Roubinowitz
[Ordonnance n• 1707537 du 28 septembre 2017]
Disponible dans la docuthèque sur www.ash.tm.fr

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